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19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 20:26

MIRALmiral.jpg

film français, israélien, britannique de Julian Schnabel

avec Freida Pinto, Hiam Abbass, Willem Dafoe…

 

Présenté en avant première

V.O.S.T. (2010)

 

durée 1h30min

Jérusalem, 1948. Alors qu’elle se rend à son travail, Hind, une jeune femme palestinienne, recueille un groupe d’enfants victimes d’une attaque israélienne. Ainsi naquit l’institut Dar Al Tifel, un pensionnat pour enfants palestiniens.
En 1978, Miral, fillette de 7 ans est conduite par son père Jamal à l’institut après le suicide de sa mère.
Les années passent et à 17 ans, Miral se trouve à l’heure des choix : partagée entre la défense de la cause de son peuple par la force, et l'idée, inculquée par Hind, que l'éducation est la seule solution...

Après Le Scaphandre et Le Papillon, Julian Schnabel retrace l’histoire de femmes dont les destinées s’entrelacent sur trois générations, animées par une quête éperdue de justice, d’espoir et de réconciliation dans un monde assombri par les conflits, la fureur et la guerre. Miral est l’une d’elles. Le film est l’adaptation du livre de Rula Jebreal.

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19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 20:07

 

Au cinéma GRAND ECRAN de LIBOURNE

Prix des places : 5€ pour tous

 

YO, TAMBIEN

V.O.S.T. (2009)

            film espagnol d’Alvaro Pastor et Antonio Naharroyotambien

             avec Lola Duenas, Pablo Pineda, Antonio Naharro…

 

 

 

Daniel a 34 ans et travaille dans un centre social à Séville où il fait la connaissance de la jeune et indépendante Laura. Leur amitié se fait instantanément. Mais Daniel est différent… et cette amitié devient l’objet de toutes les attentions au travail et dans leurs familles. La situation ne manque pas de se compliquer quand Daniel tombe définitivement amoureux de Laura. Refusant de se plier aux convenances sociales, Daniel et Laura finiront par construire une amitié unique comme aucun d’eux n’a jamais connu.

 

Débat avec la participation de l’association Trisomie 21 Gironde

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27 mai 2010 4 27 /05 /mai /2010 15:15

 

Au cinéma GRAND ECRAN de Libourne  
Prix des places 5 € pour tous 
« AJAMI » (2009) V.O.S.T.ajami
film israélien de Scandar Copti et Yaron Shani  
avec Shakir Kabaha, Ibrahim Frege, Fouad Habash…
durée 1h 58 min

  

Le quartier d'Ajami, à Jaffa, est un lieu cosmopolite où cohabitent Juifs, Musulmans et Chrétiens. Le jeune Nasri, âgé de 13 ans, et son grand frère Omar vivent dans la peur depuis que leur oncle a tiré sur un membre important d'un autre clan. Malek, un jeune réfugié palestinien, travaille illégalement en Israël pour financer l'opération que sa mère doit subir. Binj, palestinien, rêve d'un futur agréable avec sa petite amie chrétienne. Dando, un policier juif recherche désespérément son jeune frère disparu... L'histoire de destins croisés au cœur d'une ville déchirée.
Ajami est un quartier de la ville de Jaffa en Israël. « Il n’y a, à notre connaissance, aucun autre lieu qui exprime mieux la tragique collision de différents "mondes" que les rues d’Ajami. Ajami est un melting-pot de cultures, de nationalités et de perspectives humaines opposées.», commentent les réalisateurs. Par ailleurs, Ajami est le quartier où Scandar Copti a grandi.
Les personnages du film ne sont pas incarnés par des acteurs professionnels. Le casting s’est fait dans la recherche de gens dont le parcours et la vie étaient proches du personnage qu’ils devaient incarner. Au début du projet, 300 personnes ont commencé une préparation pour le film. Au fur et à mesure, seuls certains se sont lancés dans l'aventure et les réalisateurs avaient leurs acteurs. Pendant sept mois, Scandar Copti et Yaron Shani ont travaillé avec les acteurs pour réussir à capter des émotions réelles au moment du tournage. Il ne s’agissait pas de répétitions mais plutôt de préparation psychologique par le biais de mises en situations diverses. Les acteurs n’ont eu accès au script à aucun moment du tournage. Ils étaient directement confrontés aux situations sans savoir ce qui allait se passer. De cette façon, leurs réactions et émotions étaient très proches de la réalité.

 

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27 mai 2010 4 27 /05 /mai /2010 15:07

 

 

Au cinéma GRAND ECRAN de Libourne

Prix des places 5 € pour tous

 

     « HUIT FOIS DEBOUT » (2009)   8 fois debout

 

film français de Xabi Molia

avec Julie Gayet, Denis Podalydès, Constance Dolle…

durée 1h 43 min

 

Elsa vit de petits boulots et essaie de décrocher un véritable emploi, afin de pouvoir assumer la garde de son fils. Mathieu, son voisin de palier, enchaîne, lui aussi, les entretiens d'embauche avec un art consommé du ratage. Bien qu'étant dans une situation de plus en plus précaire, tous deux cherchent à rebondir dans un monde qui ne semble pas fait pour eux. " Sept fois à terre, huit fois debout " ?

 

Présenté au festival du film de Tokyo, Huit fois debout a été nommé pour le grand prix et Julie Gayet a reçu la récompense de la meilleure actrice.
« Dans mon film, la forêt est un lieu où pourrait s'élaborer une contre-société, un monde alternatif où existe la possibilité de vivre mieux. » Le réalisateur explique la place de la forêt dans son film alors que lui-même pendant le tournage a découvert une sorte de « société alternative » qui vit dans les forêts aux abords de Paris et ne s’en trouve apparemment pas plus mal…"Pour Mathieu, j'avais envie d’un acteur qui puisse jouer la marginalité, mais une marginalité très consciente, à la fois jouissive et intellectuelle, ce que Denis a apporté. J'avais aussi envie de travailler sur des choses qui sont propres à son énergie, ce côté          « monologuiste » délirant, raconte Xabi Molia, désireux de bousculer l'image habituelle de Denis Podalydès : "Julie m'a soufflé qu'avec une barbe de cinq jours, ce n’était plus du tout le même homme. Et elle avait raison : pendant le tournage, quand je le regardais marcher dans la forêt, je me disais « Bon sang, mais c’est John Wayne ! »
Xabi Molia signe avec Huit fois debout son premier long-métrage. Il a déjà trempé sa plume dans l’univers du roman, du théâtre ou du court-métrage. Il n’est donc pas vraiment attaché au cinéma mais cherche plutôt les différents modes d’expressions nécessaires aux histoires qu’il raconte. Chaque histoire prend forme de manière individuelle et particulière et Xabi Molia n’hésite pas à passer d’un support à l’autre autant de fois qu’il est nécessaire: "Certaines de mes histoires ont vraiment besoin de la littérature pour être racontées. Et je sens que d’autres ne pourront pas prendre forme sans le cinéma. Je ne saurais pas, par exemple, écrire un roman dont l’intrigue se déroule en pleine nature, dans un monde sauvage. Les mots me manqueraient, et ça me paraîtrait très fabriqué. Alors que le cinéma, dès qu'il est dans la nature, dans l'errance, me passionne." Diplômé de l’Ecole Normale Supérieure, le réalisateur se définit lui-même comme un "raconteur d’histoire".
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27 mai 2010 4 27 /05 /mai /2010 14:56

afich sol local copie

«SOLUTIONS LOCALES POUR UN DESORDRE GLOBAL » (2009)

 

film documentaire français de Coline Serreau

durée 1h 53 min

Prix des places 5 € pour tous

 

"Les films d'alertes et catastrophistes ont été tournés, ils ont eu leur utilité, mais maintenant il faut montrer qu'il existe des solutions, faire entendre les réflexions des paysans, des philosophes et économistes qui, tout en expliquant pourquoi notre modèle de société s'est embourbé dans la crise écologique, financière et politique que nous connaissons, inventent et expérimentent des alternatives."
Caméra au poing, Coline Serreau a parcouru le monde pendant près de trois ans à la rencontre de femmes et d’hommes de terrain, penseurs et économistes, qui expérimentent localement, avec succès, des solutions pour panser les plaies d’une terre trop longtemps maltraitée. Elle a ainsi rencontré Pierre Rabhi, Lydia et Claude Bourguignon, les paysans sans terre du Brésil, Kokopelli en Inde, M. Antoniets en Ukraine... Tour à tour drôles et émouvants, combatifs et inspirés, ils sont ces résistants, ces amoureux de la terre, dont le documentaire de Coline Serreau porte la voix.
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27 mai 2010 4 27 /05 /mai /2010 14:44

Pour clôturer sa saison

Cinéphiles en Libournais est heureux de vous présenter enfin (deux ans que nous essayons d’avoir ce film à nouveau distribué en France cette année)

LA LUZ PRODIGIOSA

 

Et avant la projection comme à l’habitude nous vous proposons de partager un moment de convivialité autour de gâteaux et autres douceurs à partir de 20h15

 

Bobine du mardi 15 juin à 20h45

3€ sur présentation de la carte d’adhérent

 

Au cinéma GRAND ECRAN de Libourne

 

 « LA LUZ PRODIGIOSA » (2002) V.O.S.T.la_luz_prodigiosa.jpg

 

film espagnol de Miguel Hermoso

avec Alfredo Landa, Nino Manfredi, Kiti Manver…

durée 1h 45 min

 

Joaquin, jeune berger andalou découvre un homme fusillé par les franquistes et laissé pour mort dans un ravin en 1936. Le jeune homme amène le blessé dans un asile. Celui-ci a perdu la mémoire et ne sait que répéter un mot "galapago".  Joaquin part et oublie cet homme. Il se passera quarante quatre ans avant qu'il ne le revoie……En 1980, Joaquin devenu vieux retrouve Galapago qui mendie dans les rues de Grenade, ville proche du lieu de naissance du poète Federico Garcia Lorca et le recueille chez lui. 

« Le scénario  écrit par Fernando Marias d'après son roman est fondé sur une réalité historique, la disparition de Federico Garcia Lorca assassiné par les antirépublicains et jeté dans la fosse commune de Viznar en Andalousie avec d'autres victimes. Son corps n'a jamais été identifié.
La naissance d'une amitié entre Joaquin et Galapago  donne lieu à un remarquable duo entre les deux grands acteurs qui interprètent respectivement ces rôles,  Alfredo Landa et Nino Manfredi.
Commence alors une recherche passionnante menée par Joaquin pour retrouver qui est véritablement son ami. Cette quête, qui le mènera à une révélation incroyable, est aussi une plongée dans le monde poétique du grand poète espagnol.  De plus la découverte de l'identité de Galapago est aussi pour Joaquin une découverte de lui-même.

Les images, très belles, accompagnent une poésie latente qui naît de la beauté de la lumière et des paysages, de l'émotion qui accompagne la révélation et de l'aura qui enveloppe peu à peu la silhouette misérable et pitoyable du mendiant Galapago et le transfigure, lui,  le poète assassiné.
Si l'on peut reprocher au film des scènes esthétisantes avec des effets spéciaux inutiles, elles ne sont pas assez nombreuses pour nous empêcher de savourer ce film subtil et poétique. » (article de Palla d’Oro)
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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 16:05

Au cinéma GRAND ECRAN de Libourne

Prix des places 5 € pour tous

 

«  ILUSIONES OPTICAS »  (2009) V.O.S.T.ilusiones opticas

 

film chilien de Cristián Jimenez

avec Valentina Vargas, Alvaro Rudolphy, Eduardo Paxeco…

durée 1h 42 min

 

Au centre commercial le nouveau vigile devient l'amant d'une bourgeoise cleptomane. Un skieur aveugle recouvre la vue et découvre un monde moins réjouissant qu'il ne l'avait espéré. Une entreprise offre à son personnel contre performances optimales, des opérations de chirurgie esthétique, seins, nez et autres implants capillaires, au choix. Un cadre quinqua fait un stage d'" out placement " ou   " comment se faire virer en douceur et dire merci ". A l'extérieur il pleut, mais au centre commercial il fait toujours 24°. L'hiver passe, tout semble irréel. Illusions d'optique.

Le film a été sélectionné aux festivals de San Sebastian et Tokyo (2009).

 

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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 15:51

Au cinéma GRAND ECRAN de Libourne

Prix des places 5 € pour tous

 

« LA PIVELLINA »  (2009) V.O.S.T.la_pivellina.jpg

durée 1h 40 min 

film italien, autrichien de Tizza Covi et Rainer Frimmel

avec Patrizia Gerardi, Asia Crippa, Walter Saabel…

 

Artistes de cirque, Patty et son mari Walter vivent dans un camping à la périphérie de Rome. Un soir d'hiver, Patty trouve dans un parc voisin une fillette de 2 ans abandonnée par sa mère. Contre l'avis de Walter, elle décide de garder l'enfant chez elle. La petite Asia découvre une nouvelle vie au milieu des saltimbanques, des roulottes et des animaux.
Chaque jour qui passe renforce un peu plus la relation entre Patty et la fillette. Mais un matin, Patty reçoit une lettre de la mère d'Asia...

 

Même si La Pivellina reste une fiction, les acteurs du film ont un vécu très proche du scénario. Patrizia Gerardi et Walter Saabel (Patty et Walter dans le film) sont en réalité des gens du spectacle vivant dans une caravane. Tizza Covi et Rainer Frimmel les connaissaient depuis longtemps. Ce choix contribue à rendre le film d'autant plus proche de la réalité. Les réalisateurs ont, par ailleurs, un faible particulier pour Patty pour ses ressemblances avec l'actrice Anna Magnani, à laquelle ils sont très attachés.
Pendant le tournage, les acteurs ne recevaient que quelques indications sur le contenu des conversations qu'ils devaient jouer. Libre à eux, ensuite, de créer les dialogues. Prévenus seulement une heure avant chaque tournage, ils étaient donc plus proches de l'improvisation que de la récitation. Les seules contraintes étaient le début et la fin du film ; pour le reste, tout dépendait des choix des acteurs et de l'humeur de la petite Asia Crippa âgée de moins de 2 ans au moment du tournage.
Pas facile de tourner dans une caravane, d'où le choix d'un tournage en super-16mm avec caméra sur l'épaule. Encore un moyen pour Tizza Covi et Rainer Frimmel de renforcer l'effet documentaire. Ce n'est pas un hasard non plus si aucune lumière artificielle n'a été utilisée durant le tournage.

« Nous avions plus de métrage que pour nos films précédents, environ 20 heures en tout, ce qui reste relativement peu pour un film de fiction. Pendant le montage, dont j'ai la charge, on a du écarter beaucoup de moments magnifiques et très réussis parce qu'ils s'éloignaient trop de la trame de l'histoire » nous dit Tizza Covi.

 

 

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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 15:45

Au cinéma GRAND ECRAN de Libourne

Prix des places 5 € pour tous

 

«THE GOOD HEART » (2008) V.O.S.T.the_good_heart.jpg

 

film américain, islandais de Dagur Kari

avec Paul Dano, Brian Cox, Isild Le Besco…

durée 1h 35 min

 

Lucas, un garçon marginal, rencontre par hasard Jacques, un patron de bar grognon affaibli par cinq attaques cardiaques. Sachant que ses jours sont comptés, Jacques décide de prendre sous son aile Lucas. Tout se passe selon ses souhaits jusqu'au jour où April, une jolie hôtesse de l'air un peu éméchée, fait irruption dans le bar....

"J'aime beaucoup le format "sitcom"; être coincé dans une spirale sans fin avec vos personnages préférés dans une histoire clairement définie. J'aime aussi le cinéma d'art et d'essai et des structures dramatiques alternatives. Les sitcoms ont tendance à avoir une esthétique très mauvaise et les films d'art et d'essai ont tendance à se prendre trop au sérieux. Mon but est de faire un bouillon à partir des éléments que j'aime dans chaque format. De mélanger humour et poésie, la comédie avec la tragédie", nous dit le réalisateur.
Dagur Kari entre à la Danish Film School en 1995 pour en sortir diplômé en 1999 avec un moyen métrage de quarante minutes, Lost weekend, tourné au Danemark. Ce film de fin d'études reçoit onze prix internationaux (notamment à Brest, Angers, Poitiers, Munich et Tel Aviv).

 

 

The good heart est le troisième film réalisé par Dagur Kari et c'est le premier en anglais. Il a tourné un film en islandais, un film en danois  (Noi albinoi en 2003 et Dark Horse en 2007) Le réalisateur étant né dans le sud de la France, peut-être aura-t-on droit à un tournage en français pour son prochain long-métrage ?
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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 15:35

« SOUL KITCHEN » (2008) V.O.S.T.soul_kitchen.jpg

 

film français, allemand de Fatih Akin

avec Adam Bousdoukos, Moritz Beibtreu, Birol Unel…

durée 1h 39 min

 

Au cinéma GRAND ECRAN de Libourne

Prix des places 5 € pour tous

 

 

Zinos, jeune restaurateur à Hambourg, traverse une mauvaise passe. Sa copine Nadine est partie s'installer à Shanghai, les clients de son restaurant, le Soul Kitchen, boudent la cuisine gastronomique de son nouveau chef, un talentueux caractériel, et il a des problèmes de dos !
Zinos décide de rejoindre Nadine en Chine, et confie son restaurant à son frère Illias, fraîchement sorti de prison. Ces deux décisions se révèlent désastreuses : Illias perd le restaurant au jeu contre un promoteur immobilier véreux, et Nadine a quelqu'un d'autre dans sa vie ! Mais les deux frères ont peut-être encore une chance de sauver le Soul Kitchen, s'ils parviennent à s'entendre et à travailler en équipe

 

Projeté en Compétition à la 66e Mostra de Venise en septembre 2009, Soul Kitchen y a reçu le prix du Jury, présidé cette année par Ang Lee.

 

"Je voulais faire un film sur le sentiment d’être chez soi, qui n’a rien à voir avec la nationalité, le fait d’être allemand ou turc, ni même un endroit particulier : c’est un mode de vie, un état d’esprit." Nous dit le réalisateur.

Soul Kitchen n’est pas le troisième film de la trilogie "amour, mort, diable" annoncée par Fatih Akin, Après Head on (l’amour), et De l'autre côté (la mort), le réalisateur souhaitait se reposer un peu en réalisant un film plus léger comme Soul Kitchen : "Avec ce projet, j’étais censé faire quelques gammes et me rappeler que la vie n’est pas faite que de douleur et d’introspection. Je voulais m’accorder une petite pause avant de me frotter au diable – ce qui ne sera sûrement pas une partie de plaisir !"
Pour Soul Kitchen, Fatih Akin s’est entouré de ses acteurs habituels à commencer par Birol Ünel, acteur principal de Head on. Il retrouve également Adam Bousdoukos (L' Engrenage) et Moritz Bleibtreu (Julie en juillet).
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